Ma lettre serait être courte :
Cher ami,
laisse ta douleur.
Je connais ton poison
nous portons le même sang
je refuse ton malheur,
rien de vrai qui en provient.
J’abandonne ton poison
je l’échange pour grandes batailles
si seulement tu goûterais
de l’eau propre, la force du bien
J’ai goûté ton poison
j'entends toujours mon propre sang
demain je te pardonnerai,
peut-être demain tu vas comprendre.
Ma lettre devait être plus courte,
je déteste son air fatale.
On t’aimera toujours
''cher ami'',
Cher ami,
laisse ta douleur.
nous portons le même sang
je refuse ton malheur,
rien de vrai qui en provient.
je l’échange pour grandes batailles
si seulement tu goûterais
de l’eau propre, la force du bien
j'entends toujours mon propre sang
demain je te pardonnerai,
peut-être demain tu vas comprendre.
je déteste son air fatale.
On t’aimera toujours
''cher ami'',
malgré malheur.